- d'assurer l'expertise biologique,
- de contribuer à la surveillance des infections à pneumocoques et de leur résistance aux antibiotiques.
L'ensemble de ces activités doit permettre d'assurer un conseil technique d'expert et, en cas de phénomènes épidémiologiques inhabituels, d'alerter la Direction Générale de la Santé et l'Institut National de Veille Sanitaire (Décret n°2016-806 du 16 juin 2016 - art. 1; JO n°161 du 14 juillet 2018 - Arrêté du 10 juillet 2018 modifiant l’arrêté du 7 mars 2017).
Le CNRP s'appuie sur 22 ORP (Observatoires Régionaux du Pneumocoque), soit plus de 400 laboratoires et près de 500 établissements de santé (CHU, CHG, établissements privés...).